Que restait-il à écrire sur Gustave Courbet ? Les rapports qu’il entretenait avec sa région natale. Avec cet ouvrage l’oubli est réparé.
A la lecture du titre de cette chronique, vous vous êtes sans doute dit, exaspéré : « Encore un ouvrage sur Courbet ». vous avez raison. La grande exposition Courbet à Paris, en fin d’année 2007 a donné lieu à pléthores d’ouvrage autour du maître du réalisme. Seulement, celui que je vous présente aujourd’hui, traite d’un sujet jamais abordé par les autres ouvrages. Quels rapports entretenait Courbet avec la Franche-Comté. Voici l’originalité de ce travail. Jamais peintre, ne fut autant attaché à sa région, à ses paysages, à ses mœurs, à ses habitants. Courbet a trouvé dans son pays natal sa principale source d’inspiration. Courbet disait : Pour bien peindre un pays, il faut le connaître. Moi je connais mon pays, je le peins ». Grâce au regard qu’il a porté sur les différentes composantes de son terroir, Courbet a pu répondre aux enjeu esthétique de son temps. Il restait donc à écrire une synthèse sur l’histoire de l’artiste et sa terre natale.
« Il y a en Franche-Comté une belle collection de Courbet, mais personne ne s’était jamais penché sur le rapport entre Courbet et les Franc-Comtois ». Partant de ce constat , Marie-Hélène Lavallée, Conservateur en chef, à l’Inspection générale des Musées de France, avec une de ses étudiantes, s’est lancé dans cette étude et comble avec brio et intelligence ces lacunes.
L’ouvrage s ‘ouvre sur une passionnante étude : Au pays de Courbet : entre mythe et réalité et se referme sur un chapitre intitulé : La réhabilitation du peintre ». entre les deux, ce sont toutes les relations Courbet-son pays, qui s’animent , prennent vie.
On connaissait les rapports qu’entretenait Courbet et Paris , Courbet et la Suisse, Courbet et l’Allemagne, avec cet ouvrage on connaît désormais mieux la diversité et la complexité que ce peintre de génie entretenait avec la Franche-Comté.
Gustave Courbet, d’Ornans par Marie-Hélène Lavallée et Bérangère Galy. – Editions Infolio, 191 p. Illustré. 22 Euros.
A la lecture du titre de cette chronique, vous vous êtes sans doute dit, exaspéré : « Encore un ouvrage sur Courbet ». vous avez raison. La grande exposition Courbet à Paris, en fin d’année 2007 a donné lieu à pléthores d’ouvrage autour du maître du réalisme. Seulement, celui que je vous présente aujourd’hui, traite d’un sujet jamais abordé par les autres ouvrages. Quels rapports entretenait Courbet avec la Franche-Comté. Voici l’originalité de ce travail. Jamais peintre, ne fut autant attaché à sa région, à ses paysages, à ses mœurs, à ses habitants. Courbet a trouvé dans son pays natal sa principale source d’inspiration. Courbet disait : Pour bien peindre un pays, il faut le connaître. Moi je connais mon pays, je le peins ». Grâce au regard qu’il a porté sur les différentes composantes de son terroir, Courbet a pu répondre aux enjeu esthétique de son temps. Il restait donc à écrire une synthèse sur l’histoire de l’artiste et sa terre natale.
« Il y a en Franche-Comté une belle collection de Courbet, mais personne ne s’était jamais penché sur le rapport entre Courbet et les Franc-Comtois ». Partant de ce constat , Marie-Hélène Lavallée, Conservateur en chef, à l’Inspection générale des Musées de France, avec une de ses étudiantes, s’est lancé dans cette étude et comble avec brio et intelligence ces lacunes.
L’ouvrage s ‘ouvre sur une passionnante étude : Au pays de Courbet : entre mythe et réalité et se referme sur un chapitre intitulé : La réhabilitation du peintre ». entre les deux, ce sont toutes les relations Courbet-son pays, qui s’animent , prennent vie.
On connaissait les rapports qu’entretenait Courbet et Paris , Courbet et la Suisse, Courbet et l’Allemagne, avec cet ouvrage on connaît désormais mieux la diversité et la complexité que ce peintre de génie entretenait avec la Franche-Comté.
Gustave Courbet, d’Ornans par Marie-Hélène Lavallée et Bérangère Galy. – Editions Infolio, 191 p. Illustré. 22 Euros.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire