"Les livres ne remplacent pas la vie, ils l'élargissent.
"Françoise Gasparri

mardi 24 février 2015

Besançon la discrète.

En 17 chapitres, Lionnel Estavoyer raconte  20 siècles d'histoire bisontine.
En juillet 2008, l'image de Besançon bascule.

Principalement connue par le fameux vers de Victor Hugo et pour son dynamisme dans les nanotechnologies, l'antique cité comtoise se voit hisser au niveau des plus grandes villes française, voir européennes. Par décision du Comité du patrimoine mondiale l'uNESCO, lors de sa 32e session en à Québec, les fortifications de Vauban sont inscrites sur la prestigieuse liste du patrimoine mondial. Cet ensemble devient ainsi le 32e site français inscrit au patrimoine mondial. Les fortifications de Vauban sont représentées par 12 sites offrant une déclinaison géographique complète (plaine, montagne, bord de mer), la diversité de constructions (du fort à la citadelle en passant par la création de villes), et l'évolution des conceptions défensives du célèbre ingénieur.
Cette attribution permet à Besançon de voir le nombres de touristes considérablement augmenté. Cette notoriété nouvelle, autour de ce qui est sans doute le chef d’œuvre de Vauban, ne doit pas faire oublier que la capitale comtoise renferment en sa boucle du Doubs des joyaux méconnus qui méritent assurément un séjour prolongé. L'année dernière le prix Lucien Febvre couronnait l'ouvrage de Christiane Roussel   Besançon et ses demeures, du Moyen Âge au XIXe siècle, paru aux Éditions Lieux Dits. Nous en avions salué, en son heure, la grande qualité de ce travail de recension. Aujourd’hui c’est au tour de Lionel Estavoyer, historien d’art et Conseiller pour le patrimoine à la mairie de Besançon, de nous livrer sa vison patrimoniale bisontine. Bien avant sa reconnaissance internationale, Besançon avait reçu le label national de «« Ville ou Pays d’art et d’histoire ». Octroyé par le ministère de la culture et de la communication, ce label regroupe des communes, qui conscientes de la richesse de leur patrimoine, s'engage dans une démarche active de connaissance, de conservation, de médiation. L’ouvrage d’aujourd’hui s’inscrit parfaitement dans cette volonté de médiation.   Assisté du photographe Yves Varlet, Lionel Estavoyer nous fait découvrir en 17 chapitres, les richesses multiples de sa ville. De l’antiquité au 20e, telle une belle dame, la ville dévoile ses secrets, à qui sait la regarder, à qui sait aller au-delà du paraître. Les textes signés par cet historien, tout en étant d’une grande valeur documentaire n’en demeurent pas moins accessibles à tous et font de cet ouvrage, une visite agréable, instructive et inattendue de celle que l’on a trop souvent, opposé à Dole ;
A quand un même ouvrage consacré aux villes Belfort, Dole et Montbéliard, elles aussi bénéficiaires du même label ?
Besançon, ville d'art et d'histoire/Lionel Estavoyer. - Editions du Belvédère, 2014. - 237 p. 35 euros.

jeudi 29 janvier 2015

Actualités Ayméennes

Ce début d'année est riche en publications consacrées à l'écrivain jurassien.



Depuis sa fondation, en 1981, la Société des Amis de Marcel Aymé n'a eu de cesse de travailler à une meilleure connaissance de l’œuvre prolifique de l'auteur, né à Joigny, et qui passa une partie de sa jeunesse à Dole et dans sa région. Avec acharnement, constance, la société publie en cette fin d'année le 32ème numéro de leur revue. Le numéro s'ouvre par un homme à Colette Magne, décédée le 31 mars 2014, Colette était la belle fille de Marcel Aymé, née d'un premier mariage de Marie-Antoinette, épouse de Marcel. On lira ensuite avec intérêt l'étude que Jeffrey Miller, professeur de droit et de littérature à la Western University (Ontario) consacrée au Légalisme magique de Marcel, publiée en 2012. Nous trouverons dans ce numéro, une longue étude inédite signée Kamel Kefi sur « l'écriture de la guerre dans  En attendant . Ce numéro se termine sur un tour d'horizon des manifestations organisées en 2013 autour de l’œuvre de Marcel. A la lecture de ce long compte rendu, l'on peut s'apercevoir que notre écrivain est loin d'être tombé dans l'oubli.
Les Amis du lauréat du prix Renaudot en 1929, publie également, le travail de Dorothy R. Brodin : Le monde comique de Marcel Aymé. Cette étude parue en langue anglaise en 1964 n'a jamais bénéficié d'une traduction en français. C'est Jean-Pierre Belleville, qui assure cette première. L' édition n'a pu se concrétiser que grâce au soutien financier de l'Agglomération du Grand Dole.
Michel Lécureur, membre fondateur de la société des amis de Marcel Aymé, grand spécialiste de la vie et des écrits de l’éclectique Marcel signe aux éditions Pardès, dans la collection ''Qui suis-je?'', une petite ; mais passionnante et originale biographie, Dans ce nouvel opus, le biographe, a sélectionné des textes qui, signés par Marcel nous renseignent sur l'état d'esprit de cet observateur lucide de la nature humaine, et de son goût peu commun pour la liberté de penser qui lui attire encore aujourd'hui l'opprobre de certains qui le connaissent mal.
Enfin, pour les lecteurs qui seront à Paris avant le 13 janvier, nous ne saurions que leur conseiller d'assister à une représentation de La Carte du temps, d'après une nouvelle de Marcel Aymé, au théâtre l'Essaïon.
« Pour venir à bout d’une crise financière et sociale sans précédent, le gouvernement d’un pays imaginaire (quoique…) institue une carte de temps. Désormais les citoyens vivront tous à temps partiel afin de réduire le chômage et la hausse des prix. Mais est-ce bien la solution ? » La pièce, mise en scène par  Véronique Vella de la Comédie Française, avec  Patrick Chayriguès, Delphine Guillaud et Raphaëlle Saudinos est ponctuée de chansons écrites par Marcel Aymé, mises en musique par Guy Béart et réorchestrées par Roger Pouly. 

Cahier Marcel Aymé, n° 32/ SAMA, 2014. - 142 p. - 23 €
Le monde comique de Marcel Aymé/Brodin Dorothy. SAMA, 2014, 246 p. - 23 €
Aymé – Qio suis-je ?/ Michel Lécureur/ - Editions Pardès, 2014. - 128 p. - 12 €
Théatre l'Essaïon .6 Rue Pierre au Lard, 75004 Paris - 01 42 78 46 42

vendredi 23 janvier 2015

Comment les comtois ont-ils traversé la guerre 1914-1918 ?


La littérature sur la Première guerre mondiale pour notre région est assez disparate. Si de nombreux ouvrages sont publiés au sortir de la guerre, ils sont avant tous des ouvrages hagiographiques, destinés à conserver la mémoire des valeureux combatants qui ont perdu la vie lors de cette déflagration mondiale. Les ouvrages d'historiens sur la conditions des comtois durant cette épreuve sont extrêmement rares. Certes la Comté ne fut pas, mis à part le Territoire de Belfort, une terre de conflit. (Petit rappel, concernant le Territoire de Belfort, il ne rejoint la Franche-Comté qu'en 1960). Elle est pourtant aux premières lignes, surtout par son industrie sensible. Alors que l'économie toute entière se met progressivement au service de la guerre, d’autant plus qu’en France, les départements du Nord industrialisé sont occupés par les Allemands : alors que la guerre s’enlise dans les tranchées, il faut transformer les usines en fabriques d’armement, dans lesquelles les femmes remplacent en partie les hommes partis au front, aux côtés des ouvriers qualifiés que l’on fait revenir dès 1915. Qu'en est il dans les départements comtois ? Avec, Peugeot et japy, notre région est au premier plan dans la transformation industrielle de guerre.
La Franche-comté devient, alors, une terre de migration. Notre province fait partie des zones dites “de grandes levées”, selon l’historien Philippe Boulanger, c’est-à-dire des régions qui ont contribué plus que d’autres, au service militaire obligatoire pendant toute la durée de la guerre. 



Pour faire face à la mobilisation de leurs ouvriers, les entreprises comtoises font appel à une main d’œuvre étrangère. C'est ainsi que de nombreux ouvriers arrivent de Chine ou du Canada.
Elle subit également une autre migration, celle des réfugiés fuyant les zones de combats. On peut évaluer le nombre des réfugiés présents dans le département du Doubs en septembre 1918, dans une fourchette comprise entre 2500 et 5000 personnes. Dans son ouvrage extrêmement bien illustré de documents anciens issus de collections privées et publiques, Jean-claude Barbeaux, s'attache avec le talent de conteur que nous lui connaissons, à retracer cette période douloureuse. Après une première partie qui dresse le portrait de notre région en 1914, il s'attarde avec pertinente sur le rôle primordiale de l'aviation lors de cette guerre. Après un chapitre sur l'industrie, la migration, notre auteur termine son ouvrage en rendant hommage à quelques comtois qui se sont particulièrement illustés. Saviez vous que le premier mort de cette tragédie était Le Caporal Jules-André Peugeot, et que le soldat qui sonna l'armistice fut le sergent Pierre Seillier, natif de Beaucourt?
Dans quelques jours nous célébrerons le 96ème anniversaire de l'armistice de 1918, cet ouvrage est la plus intelligente façon de se replonger dans le chaos qui changea la face de notre vieux continent.


La Franche-Comté pendant la Grande Guerre par Jean-Claude Barbeaux. - Editions Sutton, 2014. - 160 p. - 23 euros.

jeudi 8 janvier 2015

Pour que l'obscurantisme n'assombrisse pas le soleil des droits de l'homme en France et dans le monde.
Pour que l'obscurantisme ne détruise pas nos valeurs démocratiques, 




mercredi 24 décembre 2014

Un monde de beauté pure.

Quand la photographie se fait poésie, ou la naissance d'un véritable talent.

Fidèles à la tradition de l'édition pour les fêtes de fin d'année, les éditions du Belvédère publient plusieurs livres d'art, donc certains sont consacrés au massif jurassien. Nous y reviendront dans de prochaines chroniques. Parmi ceux-ci, nous avons un véritable coup de cœur pour le premier ouvrage d'un jeune photographe animalier et de nature : Fabien Gréban. Lorsqu'on interroge ce passionné sur son travail celui-ci répond : "Ma vision de la photographie animalière se résume à un témoignage de la vie sauvage dans son milieu naturel avec une approche esthétique. J'espère ainsi témoigner de la beauté de la nature sauvage, pas celle de l'autre bout de la terre, mais celle que l'on trouve dans nos campagnes, juste derrière les portes de nos maisons. C'est pourquoi j'ai choisi de me consacrer principalement au massif du Jura, ma terre d'adoption, que je parcours sans cesse à la recherche de la lumière et de l'émotion."



Et c'est ainsi que tout au long de l'hiver, Fabien Gréban arpente sans relâche le massif à l'affût de la présence animalière, de l'insolite, l’inattendu, la magie d'un instant . La patience de l'homme; le regard du photographe sont récompensés par de belles rencontres. Nous sommes attendris par l'espiègle hermine qui se joue de l'objectif, amoureux de messire le chamois à l’œil si vif et au sourie narquois, par maître l renard, toujours en mouvement à la recherche de quelques nourritures et admiratif par la beauté la très sage mésange sur sa branche, perchée . Nous assistons au mariage de la neige et de la glace créant des paysages, d'une féerie qui incite à la rêverie. Et puis d' une beauté à couper le souffle d'une simple fleur saupoudrée de neige qui telle une améthyste, illumine la neige de sa couleur violine. L' ouvrage de Fabian Gréban est une lettre d'amour poétique adressée à notre territoire. Il nous invite à parcourir nous aussi, le massif enneigé à la rencontre des chats forestiers, du cingle plongeur et de toute une faune particulièrement bien visible dans ce décor hivernal.
Le talent de notre jurassien d'adoption est récompensé par plusieurs prix pour des photographies publiées dans cet ouvrage. Il reçoit le Grand prix 2012 du concours international de la Réserve naturelle des marais de Séné (Morbihan); le 1er prix Faune sauvage 2012 au concours du Festival Images et Neige (Cluses; Haute Savoie). 
Si comme moi vous étés tombés amoureux d'une photographie, sachez qu'il est possible d'acquérir un tirage de celle-ci en vous rendant sur le site de l'auteur
Blanc sauvage de Fabian Gréban est un ouvrage que l'on à de cesse de regarder, regarder et regarder encore.

Blanc sauvage. Fabian Gréban. Editions du Belvédère, 2014. - 159 p. 26 €

mercredi 17 décembre 2014

Derrière les miroirs.

Kriss F.Gardaz même une carrière d’écrivain pour la jeunesse pleine de promesses. Sa trilogie séduit à la fois les enfants et les parents.



Andy, 10 et demi vit à Paris avec ses parents et sa sœur Rose, de deux ans son aînée, dans un appartement qui ne lui laisse guère de possibilités d’évasion. Alors quand il passe ses vacances, en Bretagne chez Maming, sa grand-mère, il laisse son imagination s’enflammer et se livre à des combats contre l e Prince Léon et son dragon. Rose, quant à elle, passe son temps soit à nager lorsque le temps et la température le lui permettent, soit à lire des heures dans sa chambre, rêvant de princes charmants. Pourtant si différents, les deux enfants ont le même amour pour le manoir, que l’on dit hanté. Ils en connaissent tous les recoins, toutes les pièces, tous les placards. Tous ? Ce n’est pas tout à fait exact. Il y a une pièce qui a échappée à leur curiosité, jusqu’à ces vacances de la Toussaint : le grenier. Il est vrai que Mamig, en a interdit l’accès à ses petits enfants. Que pouvait-il donc se cacher derrière la porte en haut des escaliers ? Bien décider à le découvrir Rose, accompagnée de son frère, sont bien décidés à braver l’interdit.
Lorsqu’ils pénètrent dans le grenier, la déception est grande. Pourquoi fermer le grenier ? Pas de lutins endormis dans une malle, pas de farfadets, cachés derrière les poutres. Alors qu’ils s’apprêtent à quitter les lieux, Rose, dans une vielle malle, découvre plusieurs miroirs de sorcières. Rose oublie vite la mise en garde de Mamig sur ces miroirs maléfiques. Hélas pour eux, leur incorrigible curiosité va leur faire vivre des aventures extraordinaires. Resteront-ils prisonniers de ces mondes fantastiques ou sauront-ils retrouver le chemin de notre monde?

Kriss F. Gardaz, qui connaît parfaitement l’imaginaire des enfants, entraîne ses lecteurs dans des aventures surnaturelles, merveilleuses où géants, princesses, korrigans, trolls, chats d’argent croisent la route de nos deux héros, aidés dans leurs aventures par la fidèle amie-fée Ochrotomys.
Après le style et l’écriture limpide au vocabulaire riche et varié, la grande qualité de Kriss F. Gardaz, est la façon qu’elle a de décrire les mondes imaginaires. Les habitants si attachants et leurs vies quotidiennes, avec leur langue bien à eux, sont si étonnement rendus, qu’ils paressent sinon réels, au moins probables.
Kriss, jurassienne d’origine, avant de partir s’installer à Tounus, passa trois années de sa vie professionnelle à Dole, où elle revient très régulièrement,
" Dès l’aube, à l’heure où le brouillard blanchit nos nuits, j’écris. Seule, dans le silence de vos vies, je veille. Mes pensées s’envolent, mes personnages naissent et renaissent. Dans l’infini de la nuit, les mots tourbillonnent, prennent forme, m’échappent parfois »
« Les voyageurs des miroirs » prix des lecteurs Plume d’or jeunesse 2014 est un cadeau parfait à mettre son le sapin.

Les voyageurs des miroirs, l’enfant des géants, les chats d’argent, par Kriss F. Gardaz. Aux Editions du préau, 2014. À partir de 11 ans.


vendredi 14 novembre 2014

Un « Sauvage » apprivoisé.

De Baume les Messieurs à L’Ecole Estienne, itinéraire d’un enfant gâté...




Avant l’été un bulletin de souscription nous annonçait une bonne nouvelle. Enfin sortirait en librairie, un ouvrage consacré à un jurassien de talent : Félix Roy, plus connu des amoureux des beaux livres, sous le pseudonyme de Sylvain Sauvage. Nous attendions cet ouvrage avec impatience et nous ne sommes pas déçus. La biographie que nous offre M ; Bernard Saugier est passionnante et répond à nos attentes. Cet opus est soigné, les illustrations sont léchées et le texte, en nous offrant parfois de belles envolées, oscille entre travail documentaire et texte aux grandes qualités littéraires. L’auteur rencontre tout à fait par hasard l’œuvre de Sylvain Sauvage, au détour d’une exposition autour de Paul Emile Bécat (1885–1960)  dessinateur-illustrateur d’ouvrages érotiques. Impressionné par la technique de notre jurassien, il décide de se lancer dans la découverte du personnage. Pendant près d’une année, il amasse une documentation autour Félix. La rencontre avec sa fille, Monique Roy-Gaubert, figure haute en couleur, bien connue des dolois,, un beau jour à Baume-les-Messieurs, le persuade de poursuivre son projet Au cours de ses recherches, Bernard Saugier prend conscience que le temps passe et que les témoins du cercle familiale ou professionnel disparaître les uns après les autres et que bientôt, les souvenirs s’effaceront à jamais. Tel un détective, perspicace et tenace, Bernard Saugier élabore, par ordre chronologique, la plus conventionnelle, certe, , mais la plus simple pour le lecteur, une biographie, nous faisant toute à la foi partager l’itinéraire d’un enfant gâté et entrer dans le monde fascinant des acteurs du livre. Felix Roy, nait à Baume-les-Messieurs, le 8 mai 1888 et meurt à Paris en janvier 1948 Arès s’être essayé aux dessins de mode, il livre quelques dessins publicitaires Mais très vite le succès arrive avec ses illustrations pour de grands chefs d’œuvres de la littérature française et étrangère. On lui doit entre autres les illustrations d’Une aventure de Casanova, des Liaisons dangereuses de Choderlot de Laclos, les Dieux ont soif d’Anatole Franc ou le Bon plaisir d’Henri Regnier. Il explore toutes les techniques du bois gravé à l’eau forte, du pochoir à la lithographie. Devant sa grande maîtrise de toutes ces techniques on pense ç lui pour la direction de la prestigieuse Ecole Estienne, école supérieure des arts et industries graphiques à Paris L’adage populaire dit, que derrière chaque grand homme, se cache une femme. Bernard Saugier n’a pas oublié, contrairement ç bien d’autres biographes de notre illustrateur, de monter combien l’influence de sa première épouse fut décisive dans le travail de Sylvain. Charlotte Grappe, disparue en 1930, laisse pourtant une œuvre tout à fait digne d’intérêt comme dessinatrice de dessins de mode, pour des revues comme : La vie féminine ou Paris magazine, dont elle donne plusieurs couvertures.
Cet ouvrage, de grande qualité, devrait retenir l’attention lors de l’attribution des différents prix littéraires comtois.


Sylvain Sauvage/ Bernard Saugier. – 2014, 462 p., relié sous jaquette en coul. – 75 euros.

Belle vente de livres anciens

 
SAMEDI 15 NOVEMBRE à 14H00
HOTEL DES VENTES - DOLE
LIVRES ANCIENS ET MODERNES DE FRANCHE COMTE ET GRAVURES




Livres anciens - Bibliothèque franc-comtoise - Généalogies et seigneuries dont Généalogie des Vergy - Armoriaux, histoire des familles - Monographies des villes Besançon, Dole -  Etudes historiques sur le Doubs, la Haute-Saône, le Jura, Belfort,  dont Siège de Dole (1637) - Gollut : Mémoires sur les séquanais (1592) - Traditions populaires et religieuses, minéralogie et géologie, spéléologie, archéologie, bibliographies (G. Peignot), livres illustrés (Coindre, Fernier) - Documents anciens - Catéchisme des bons frères charbonniers (1835), franc-maçonnerie, confréries, droit ancien, sciences naturelles - Biographies - Manuscrits, Dictionnaires, Annuaires, Almanachs, Revues, Divers - Ensemble de 75 planches gravées de Martinet du 18ème en coloris d’époque (pièces encadrées) - Album de cartes de menus - Photographie de Baldus....

Expert : Christian REBERT, près la Cour d’Appel de Colmar
11, rue d’Alsace-Lorraine 70000 VESOUL
Tél. : 03 84 76 56 80

Exposition : le vendredi 14 novembre de 15h à 19h et Samedi avant la vente de 9h30 à 11h30
Frais en sus des enchères : 21.10% TTC ou 14.40 % TTC
Catalogue sur demande à l’Etude (5€) 
EUROPE ENCHERES 

HOTEL DES VENTES 
28, place Barberousse
39100 DOLE 

ANNEXE
Rue Macédonio Melloni
39100 DOLE 

Tél : 03.84.72.25.27
Fax : 03.84.79.21.85

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