Savez-vous ce qui se cache derrière le terme barbare de anthroponomie ? Il s'agit tout simplement de la science, très populaire, des noms de famille, comprendre leur origine, leur formation, ou connaître leur lieu de naissance.
Petit rappel historique. Jusqu'au 11e siècle, les personnes ne portaient qu'un nom de baptême. Au 12e siècle, l'explosion démographique oblige les populations à donner des surnoms aux individus afin d'éviter les confusions. Ce surnom est peu à peu transmis aux enfants. C'est la naissance du nom de famille. En 1474, Louis XI interdit de changer de nom sans une autorisation royale. En 1539, François Ier promulgue l'ordonnance de Villers-Cotter
êt. Celle-ci rend obligatoire la tenue de registres d'état-civil. Cette tâche est confiée aux curés, le Clergé constituant la seule «administration » présente dans tout le royaume.
L'ouvrage, dont je vous propose la lecture aujourd'hui : Les noms de famille du Jura s'intéresse plus particulièrement aux 1000 premiers noms portés dans le département par leur fréquentation. Pour chaque patronyme, on découvre l'origine, quelques anecdotes attachées au nom, les personnes qui ont marqué le département et enfin une sélection de célébrités nationales portant le nom.
A la lecture de cet ouvrage, on y découvre qu'Angonin, Benier ou Faton sont d'anciens prénoms; que Lançon était le surnom de personnes longues et minces; que derrière les Febvre se cachaient des forgerons et que les Puget vivaient près d'un petit puits.
Si vous souhaitez savoir sur le nom que vous portez est rare ou bien fréquent, si désirez connaître sa signification, ou vous êtes féru de généalogie, alors lisez cet ouvrage. Il vous révélera bien des secrets sur les patronymes jurassiens et français. Cet ouvrage s'inscrit dans une collection où chaque département est traité sur le même modèle.
Les noms de famille du Jura/ sous la dir. de Marie-Odile Mergnac. - Archives et Culture, 288 p. - 25 €
Petit rappel historique. Jusqu'au 11e siècle, les personnes ne portaient qu'un nom de baptême. Au 12e siècle, l'explosion démographique oblige les populations à donner des surnoms aux individus afin d'éviter les confusions. Ce surnom est peu à peu transmis aux enfants. C'est la naissance du nom de famille. En 1474, Louis XI interdit de changer de nom sans une autorisation royale. En 1539, François Ier promulgue l'ordonnance de Villers-Cotter
êt. Celle-ci rend obligatoire la tenue de registres d'état-civil. Cette tâche est confiée aux curés, le Clergé constituant la seule «administration » présente dans tout le royaume.L'ouvrage, dont je vous propose la lecture aujourd'hui : Les noms de famille du Jura s'intéresse plus particulièrement aux 1000 premiers noms portés dans le département par leur fréquentation. Pour chaque patronyme, on découvre l'origine, quelques anecdotes attachées au nom, les personnes qui ont marqué le département et enfin une sélection de célébrités nationales portant le nom.
A la lecture de cet ouvrage, on y découvre qu'Angonin, Benier ou Faton sont d'anciens prénoms; que Lançon était le surnom de personnes longues et minces; que derrière les Febvre se cachaient des forgerons et que les Puget vivaient près d'un petit puits.
Si vous souhaitez savoir sur le nom que vous portez est rare ou bien fréquent, si désirez connaître sa signification, ou vous êtes féru de généalogie, alors lisez cet ouvrage. Il vous révélera bien des secrets sur les patronymes jurassiens et français. Cet ouvrage s'inscrit dans une collection où chaque département est traité sur le même modèle.
Les noms de famille du Jura/ sous la dir. de Marie-Odile Mergnac. - Archives et Culture, 288 p. - 25 €
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